TRANSITIONS ECOLOGIQUES
pour les territoires
#Innovation sociale, #Transition écologique, #Développement local, # Résilience, #Implication des acteurs, #Territoire durable, #EPCI, #Organisation durable #Collectivités exemplaires, #Intelligence collective, #Accompagnement aux changements, #Accompagnement des leaders #démarches 100% apprenantes.
Votre contexte
Vous sentez l’urgence d’agir sur la transition sociale et environementale ?
Vous avez envie de provoquer la résilience de votre territoire mais vous ne savez pas encore comment faire ?
Vous avez besoin d’un chef d’orchestre pour organiser la démarche et d’un regard extérieur pour éviter les écueils courants, apporter du sens, confirmer vos choix et sécuriser les résultats ?
Vous aimeriez avoir un accompagnement sur mesure qui s’adapte à la réalité de votre terrain et qui vous fait gagner en temps et en efficacité ?
La transition écologique est nécessaire pour développer la résilience d’un territoire, c’est à dire, apporter des réponses aux besoins vitaux et aux nombreux enjeux actuels et futurs. Mais plus qu’une contrainte, la transition écologique est une opportunité. Elle rassemble autour d’objectifs communs tels que le bien-être, la santé, l’amélioration du cadre de vie, le lien social, le développement local durable et même la création d’économie.
Elle utilise nécessairement la coopération entre acteurs, la transversalité et l’intelligence collective, ce qui produit des nouveaux moyens d’actions plus efficients. Elle est aussi un très bon outil pour trouver de nouvelles solutions, faire autrement, se réinventer, se repenser, innover autant sur les sujets que sur la méthode. La transition a l’avantage de redonner du pouvoir d’agir dans des contextes à priori figés. C’est une dynamique qui mobilise, impulse, ré-insuffle de la vie, provoque le courage, l’espoir et l’action pour des œuvres collectives. Enfin, la transition écologique est une démarche exigeante tout en étant l’illustration de ce que l’humanité peut faire de plus beau. C’est une opportunité, aujourd’hui, d’améliorer, d’apporter des réponses plus économiques, plus qualitatives et plus épanouissantes pour l’Homme et la planète.
Une région durable et résiliente, c’est un territoire qui s’est réalisé. C’est-à-dire, qu’il a trouvé sa place, son identité et s’épanouit pleinement. Par exemple, le monde urbain dépend du monde rural car aucune ville ne peut vivre sans ses espaces pour fabriquer l’énergie ou la production alimentaire. Il y a donc une stratégie de coopération ou de multi-partenariats solides à assurer et/ou une augmentation de l’autonomie dans la mesure du possible. En effet, c’est parce que le territoire se connait, qu’il a identifié ses contraintes et ses ressources, qu’il peut en tirer parti et être au service de ses habitants.
« Il ne suffit pas de mettre des élus et les citoyens face à face dans une réunion publique pour que la confiance naisse et que le débat se révèle constructif, bien au contraire. La participation demande toute une ingénierie. ” [1] D’autant qu’une participation mal faite peut entraîner des conséquences néfastes inverses.
[1] Gilles JEANOT, Loic BLONDIAUX, Démocratie participative : « La professionnalisation, un enjeu décisif ! », revue Territoires, décembre 2011, p8-11.
La méthode
Avoir une démarche de transition écologique au service du développement des territoires, créer les conditions de dialogue constructif, développer des systèmes sécurisés qui créent plus de valeur ajoutée que ne consomme de ressources tout en permettant un mieux être humain. Alors quelle méthode pour des objectifs si ambitieux ?
Cette résilience s’atteint par la co-construction de toutes les parties prenantes qui dépassent leurs passions pour construire ensemble quelque chose de plus grand qu’eux. Il y a un travail de coordination de l’ensemble des acteurs du territoire autour d’une vision partagée. L’ensemble de ces parties prenantes, qui constitue le « Nous », se réunit autour d’un seul but : celui d’assurer la transition de nos territoires vers la résilience et la durabilité. Ce passage d’un état à l’autre demande à chacun de remettre en question ses pratiques pour les aligner et les incarner dans l’axe de l’écologie. Il n’y a pas de transition extérieure pérenne sans transition intérieure. Ce nouveau monde, qui a déjà commencé à émerger, nécessite d’être accompagné pour ne pas subir violemment ses mutations. Plus nous résistons à ce nouveau paradigme, plus nous persistons à faire comme nous avons toujours fait, plus nous créons de la friction. Au contraire, si nous nous réinventons, l’écologie devient un média de solutions qui résout les problèmes quotidiens en profondeur et pour de bon.
Bien qu’elles aient pu être nécessaires, nous éviterons les solutions « rustines » car certaines réponses spécifiques et apportées dans l’urgence peuvent aggraver la situation. Il n’est plus question de résoudre un problème pour en créer un autre ou de mettre en place « de fausses bonnes idées », « de contrôler, prévoir, calculer, maîtriser » alors que l’écologie demande plutôt « d’accompagner, observer, comprendre, co-construire les solutions, et les réajuster en permanence ».
Pour apporter des réformes de fonds, durables, nous pourrions vouloir être rassuré en proposant la résolution par des experts. Cependant, cette méthode de travail a montré ses limites car bien que l’expertise technicienne soit nécessaire, elle est insuffisante. Pour réussir, elle doit s’associer à l’expertise de l’usage. C’est-à-dire, s’associer à un travail décloisonné des disciplines et co-construit avec tous ceux concernés (élus, techniciens, experts, associations …) qui expérimentent et utilisent l’objet ou le service en question (publics, habitants, touristes, agriculteurs, femme de ménage, réparateurs …) .
L’expérimentation est un grand principe des démarches de la transition écologique car « c’est en faisant que l’on construit les meilleures solutions ». L’écologie est une démarche apprenante qui adapte ses moyens de mises en œuvre en fonction du contexte et des opportunités. Cela nécessite d’expérimenter en permanence jusqu’à trouver l’équilibre agile dans l’imprévisible et le mouvement perpétuel. Le principe est plutôt d’accompagner ce qui émerge vers la vision partagée plutôt que d’imposer.
L’efficacité des actions résident dans un travail expérimental, global, collaboratif et transversal, accompagné systématiquement d’une mesure de l’impact des actions. La réussite ne se traduit pas, alors, par une obligation de moyen, mais bien par une recherche d’amélioration et de résultats tangibles sur les éléments les plus essentiels. Tous les axes de la transition écologique deviennent des indicateurs qui se mesurent et se célèbrent à chaque amélioration.
« Par delà l’outil, c’est la posture du facilitateur qui fera toute la différence. »
Rôle du facilitateur
Plus qu’un animateur, le facilitateur donne à toutes les demandes de la légitimité en accompagnant les parties prenantes à se mobiliser pour la résolution. Il sait, avec fluidité, gérer les conflits, passer de l’individuel au collectif, reformuler et tirer les problématiques sous jacentes des sujets les plus bateaux (crottes de chien), adapter son langage (pas de langage technique) … Il s’occupe de mobiliser, de faire émerger les problèmes. Il s’assure d’un dialogue équilibré, simplifie les échanges… Il forme aux règles de base d’une culture de la collaboration saine et productive. Il pose le cadre. Il sait gérer le processus pour en garantir l’efficacité
Chloé LESAGE
Facilitatrice en démarches participatives
https://www.chloelesage.fr/
Passionnée par l’humain, Chloé accompagne des projets provoquant l’épanouissement individuel et collectif depuis plus de 15 ans.
Suite à des expériences formatrices en associations, collectivités et entreprises, titulaire d’un master Concertation à la Sorbonne avec Loic Blondiaux, elle a par exemple créé des commerces en centre-ville en 36h dans plusieurs villes de France à travers des Hackathons, impulsé la transition écologique sur le haut du département de la Côte d’Or, accompagné les agents à passer de ville à métropole, formé un collectif d’habitant à gérer un écolieu, accompagner des communes à la concertation …
Avec son brin de folie et son exigence, elle aime transmettre son enthousiasme tout en provoquant l’efficience.
Plus d’information sur son parcours professionnel.
#démarches participatives #ingénierie de projet #impacts positifs #intelligence collective
Garanties
Une méthodologie structurée par phases, innovante et rapide. L’idée est d’entreprendre en cohérence avec notre époque. A la maniére d’un artisan, il n’y a aucun copié-collé mais un accompagnement conçu sur mesure.
Des formats créatifs et innovants qui rendent les sujets plus ludiques.
Des interventions vraiment centrées sur l’expertise des utilisateurs.
Au commencement, un contrat est passé entre les 2 parties pour créer l’espace de co-construction, de liberté et de responsabilité de chacun.
Tout ce qui est vu, compris ou entendu restent confidentiel. Le facilitateur a un devoir de secret.
Des points de contrôle ponctuels sont organisés tout au long du parcours pour vérifier et bonifier l’accompagnement.
Une supervision constante est organisée auprés des facilitateurs pour développer l’amélioration continue.
Un réseau de professionnel toujours disponible pour réorienter si besoin ou pour intervenir sur des compétences spécifiques.
En quoi peut-on vous aider ?
Un premier échange permettra de définir ce que nous pouvons réaliser ensemble.
Témoignages
Charlotte RETTE
FAQ
Pouvez-vous intervenir pour une ville de 10 000 habitants ?
Plus que le nombre d’habitants, c’est surtout la quantité de personnes à inclure dans le processus de concertation qui compte. Il y a d’énormes projets, comme la concertation sur la mobilité d’une région, qui peuvent demander des moyens humains importants et d’autres plus à tailles humaines. Il faut voir au cas par cas.
A votre service
Votre facilitateur de projet.
Contact
07 56 89 50 27 – contact@eurythmia.fr